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Je ne veux plus être ingénieur: témoignage de Emmanuelle reconvertie

Ce jour arrive où vous réveillez un matin en prononçant cette phrase : “je ne veux plus être ingénieur”. Vous sentez bien que ce métier n’est pas fait pour vous. Vous n’y trouvez aucun sens. Aucun intérêt. Bref, chaque jour est un supplice pour vous. Vous attendez patiemment la fin de semaine. Et chaque lundi, c’est la même chose… Vous voilà pris au piège. Vous êtes officiellement dans un métier que vous détestez. 

Dans cet article, je vous présente l’histoire de Emmanuelle Miezi Germain, 31 ans. Prédestinée à devenir l’ingénieur ou le médecin de famille…La jeune femme à décidé de faire ses propres choix et se reconvertir en tant que Coach business sur Instagram. 

En tant que psychologue et coach en reconversion professionnelle, je me suis intéressée à son parcours pour plusieurs raisons : 

  • Vous inspirez à travers son histoire.
  • Vous montrez que la reconversion est chose possible pour vous aussi.

C’est parti !

je ne veux plus être ingénieur

Présente-toi Emmanuelle. Qui es-tu ? Et quel a été ton parcours scolaire avant d’être ingénieur ?

 

Lorsque j’étais au lycée, j’ai fait ce qu’on appelait un bac S avec la spécialité physique-chimie. J’hésitais entre devenir médecin ou ingénieur. Pourtant, ce n’est pas quelque chose qui venait vraiment de moi…

Il y a avait une certaine pression de ma famille. J’entendais souvent : “tu seras médecin comme ton père.” Il faut savoir que j’ai une famille de fonctionnaires principalement. Ma mère est enseignante. Tout le monde a fait des études. Naturellement, je devais suivre la tendance !

Arrivée en classe de Terminale, j’ai été sélectionnée pour les études d’ingénieur et de médecine. J’ai fait trois ans de médecine en Guyane et Guadeloupe. Puis, je me suis rendue compte que ça ne correspondait pas à la vision que j’avais pour ma vie.

J’ai décidé de faire une licence. Mais tout ne s’est pas passé comme prévu ! J’ai suivi ce que ma famille me recommandait car pourquoi aller en licence alors que j’avais été acceptée en prépa d’ingénieur ? Les deux ans de classe prépa ont été une expérience absolument horrible pour moi ! Par contre, les 3 ans d’école d’ingénieur se sont très bien passées. Je me sentais comme en présence d’une grande famille.

Puis, mon déclic à commencé lorsque j’ai eu un module de cours sur l’entrepreneuriat. J’ai commencé à m’y intéresser. Par la suite, j’ai pu faire de très belles rencontres avec plusieurs entrepreneurs célèbres comme Cédric Annicette.

Je me suis dit : “pourquoi pas moi? Si les autres réussissent, moi aussi je peux réussir !”

J’ai quand même terminé mes études en étant major de promo… comme ma famille le voulait. Mais je n’étais plus du tout intéressée par ce que j’apprenais…

Mon discours de fin d’année signait le début de ma rébellion.

Maman mon diplôme, il est pour toi…Mais là c’est fini !

céremonie d'études

Comment ta mère a réagit quand elle a su que tu ne voulais plus être ingénieur ?

Elle était en panique ! Ma mère m’avait toujours dit ton travail c’est l’école, “Maintenant que tu as eu ton diplôme il faut que tu travailles

A ce moment-là, je remettais tout en question. Les diktats. Le fonctionnariat ! J’avais envie de vivre ma vie selon MES propres règles. 

Je me disais : “Je savais que je faisais plaisir aux autres, mais qu’est-ce que moi j’ai réellement envie de faire en fait ?

La problématique, c’est que les parents veulent ton bien, mais malheureusement projettent leurs peurs sur toi.

Alors deux choix. Soit tu acceptes le paradigme de pensée avec lequel tu as grandi… Soit tu te renseignes pour choisir ta voie ! 

Et malgré ça, tu commences à travailler en tant qu’ingénieur. Comment tu le vis ? 

J’ai finalement commencé tout de même à travailler dans l’industrie énergétique dans une grande société en Guadeloupe.

Clairement, je détestais, je mourrais d’ennui.

Effectivement, l’argent ne rentrait pas dans ma poche, mais ce qui me dérangeait au-delà de ça, c’est que j’avais l’impression d’être un pion parmi les autres. Je ne percevais pas de sens et de résultats de ce que j’avais moi-même mis en place.

En parallèle, j’ai commencé à faire du e-commerce pendant 2 ans malgré la crise sanitaire COVID19. C’est à partir de cette expérience que j’ai compris que c’était entièrement possible de gagner de l’argent en dehors du système classique ! J’ai gagné 3000 euros en 24h. C’était donc possible pour moi !

Cette activité me plaisait dans le sens où personne ne savait qui j’étais. J’avais peu de contact avec les clients au début, ce qui me correspondait. Toutefois, ce que je n’aimais pas avec le e-commerce, c’était le manque de contrôle de l’application Facebook, des influenceurs…A côté de ça, on peut vite se sentir seul. J’ai donc rejoint des groupes d’e-commerçants.

Sur la durée, j’avais par la suite du mal à en vivre. Mes résultats étaient très aléatoires. Au final, je pense que ce n’était pas ma zone de génie !

Tu quittes ton métier d’ingénieur pour devenir professeur. Comment se passe ta transition ?

A un moment donné, j’en avais marre de travailler dans l’industrie. Et comme ma mère et ma soeur étaient dans l’enseignement…Je me suis dit pourquoi pas ! Sachant que, cela faisait des années que je donnais des cours à mes neveux.

 

Je suis devenue professeur contractuelle à l’éducation nationale au lycée Charles Coeffin de Guadeloupe.

 

C’est une expérience que j’ai beaucoup apprécié ! J’ai vraiment senti que mon expérience aidait les élèves. J’aimais la pédagogie, travailler leur état d’esprit, les remotiver.

 

J’aimais également ce rapport à l’humain, qui s’est tout de même clôturé en 2021 pour plusieurs raisons…

 

Tu quittes une fois de plus ce métier de professeur. Pour quelle raison ?

En fait, j’avais co-créé en parallèle une agence de marketing digitale avec deux associés.

Naturellement, l’Éducation nationale m’a proposé un renouvellement de contrat. J’ai décidé de dire non malgré peu de revenus réguliers.

Au niveau de ma famille, c’était la fin du monde ! (rire)

Comment pouvais-je refuser un renouvellement de contrat alors que je n’avais pas de revenus réguliers ? J’ai décidé de me consacrer sérieusement à cette nouvelle activité.

L’agence de marketing digitale s’occupait de la communication des entreprises :

  • La création de contenu
  • Le community management
  • La publicité payante
  • La présence sur google

    Nous avions chacun notre spécialité. Mes spécialités étaient le community management et la publicité sur facebook.

    Notre objectif était d’augmenter la visibilité de nos clients afin d’augmenter leurs ventes.

    Malheureusement, nous nous sommes retrouvés face à énormément de problématiques.

    1. On sous-facturait
    2. On ne fixait pas de limites à nos clients
    3. On avait un problème d’acquisition client, ce qui nous a causé la perte de notre activité

     

    Quelle était la relation entre toi et tes associés ? Il y a t-il eu des frictions ?

    Ah oui ! Nous avions la même vision, ce qui est très important. Toutefois, nous avions des méthodologies, et des attentes complètement différentes dans la façon de travailler.

    Avais-tu à ce moment d’autres activités parallèles ? 

     

    En parallèle de cette activité je proposais de la formation en e-commerce dans un centre de formation.

    A partir de là, tu te lances en ligne officiellement sur Instagram. Comment as-tu fait le grand saut ?

    Avec mes deux associés, nous n’avions pas fermé officiellement l’agence de marketing digitale. Par contre, nous sommes séparés au niveau légal pour avoir des contrats personnels.

    A la base, nous n’avions aucune visibilité sur les réseaux sociaux avec notre agence de communication. Nous avions alors prévu de lancer notre compte Instagram pour notre agence de communication. C’est à ce moment-là, que mon compagnon et moi nous nous sommes associés tous les deux sur ce projet autour d’instagram.

    Au sortir de mes vacances, j’ai pu réfléchir à ce que je voulais personnellement. Mais j’avais cette peur. J’avais traversé de nombreux échecs :

    • J’ai dit non au renouvellement à l’éducation nationale
    • L’agence de marketing digitale est dissoute

    Ma mère m’a dit là, il faut que tu ailles chercher un travail”. 

    Je me suis rendue compte que je ne suis pas hyper fan du travail en couple. J’ai décidé de continuer l’aventure seule sur instagram. Je pense que chaque sphère doit être distincte ! Mon partenaire et moi, nous n’étions pas impliqués de la même façon.

    As-tu ressenti une compétition avec ton partenaire au niveau de l’entreprise ?

     

    J’ai une forte énergie masculine et j’aime contrôler, donc oui ! 

    Heureusement, aujourd’hui, il y a une émulation entre nous. On se tire vers le haut.

    Lorsque je fais un live instagram, il en fait et ainsi de suite ! (rire)

    Tu deviens « Coach business Instagram » : en quoi cela consiste ?

    Aujourd’hui, j’aide les entreprises, et particulièrement les coachs à vendre leurs offres premium, à 1000€ et plus.

    Au début, je n’avais aucun revenu, donc j’étais hyper stressée. En plus, j’avais mon prêt étudiant que je payais chaque mois. Il fallait que je me forme et que j’apprenne à coacher pour améliorer ma méthodologie !

    Mais clairement, je n’ai pas vécu de mon activité de suite...J’ai commencé l’activité en mai 2022 et j’ai trouvé ma première cliente 3 mois après. C’est à partir de là que tout s’est enchaîné !

    Comment arrives-tu à lever le frein financier et tout de même investir pour te former ?

     

    En fait, je ne me donne pas le choix. Il est hors de question que je retourne dans le salariat. Il est hors de question que je vive dans une vie qui n’est pas la mienne.  

     

    Et je n’avais clairement pas d’argent ! Il faut savoir que chaque mois j’ai environ 1500 euros qui sont débités de mon compte (voitures, prêts étudiants, …). 

     

    Ce qui s’est passé, c’est que ce n’est pas moi qui a payé. Mon chéri m’a soutenue. Il était là pour me financer plusieurs formations (notamment celle de Yomi Denzel en e-commerce et mon premier coaching Business).

    Qu’as-tu à dire aux personnes seules qui aimeraient investir dans une formation/ou coaching mais qui ont un frein financier ?

     

    Déjà, ce n’est jamais une question d’argent. Les gens achètent des iPhones alors qu’ils n’en ont pas les moyens !

    Donc mon premier conseil serait d’avoir confiance en toi. C’est la chose la plus importante. 

    Ce qui m’a réellement poussé à investir autant d’argent ? C’est le fait de me dire “je vais y arriver. Il faut que j’y arrive. Je ne me laisse pas le choix (et ce malgré les moments de doutes).

    Tu peux créer la vie dont tu rêves si tu as suffisamment confiance en toi pour y arriver. Ton cerveau détermine ta réalité. Si tu te dis que tu vas échouer, tu vas échouer, si tu te dis que tu vas réussir, tu vas réussir.

    Rappelle-toi de tes objectifs, de pourquoi tu fais les choses. Si ça ne te motive pas suffisamment pour y aller à fond, ce n’est pas une raison suffisamment puissante. Trouves-en une autre. 

    De plus, il faut se renseigner sur la personne par qui tu aimerais être accompagnée. Ne pas faire d’achat impulsif mais se renseigner sur pourquoi cette personne est la meilleure pour toi. Est-ce qu’elle a vécu des situations similaires aux tiennes?

    J’aime à dire qu’on n’amène pas sa voiture chez quelqu’un qui n’a jamais réparé de voiture mais chez un mécanicien qu’on sait qu’il est expert dans son domaine parce qu’il l’a déjà fait pour lui et/ou pour les autres.  Et aussi sa vibe, est-ce que vous partagez les mêmes opinions, est-ce que vous vous entendrez…

    Il ne faut pas se laisser impressionner et simplement se dire “ waw”.  Il y a beaucoup de vendeurs de rêves. 

    J’ai aussi lu beaucoup de livres qui m’ont aidé dans ce sens :

    Même si tu décides de te faire accompagner, il faut que tu te dises que tu vas te sauver toi-même, que tu as cette confiance inébranlable en toi-même. TU es la seule personne qui peut changer ta vie. 

     

    Je me suis dit :

    Si les autres y arrivent pourquoi je n’y arriverai pas ? Pourquoi attendre et remettre à plus tard ?

    J’ai également travaillé. Travaillé. Et encore travaillé, pour pouvoir investir dans les formations et coachings que je veux. Par exemple, pour ma dernière formation, j’ai investi 3500 euros et j’en ai fait 13 000 par la suite. 

    En résumé, je pense que l’investissement en vaut la peine, à une condition : avoir confiance en toi, au formateur/coach, en sa méthode ET surtout en passant à l’action !

     

    En parlant d’argent…Peux-tu nous donner une fourchette de tes revenus mensuels en tant que Coach business instagram  ?

    Je ne gagne pas (encore) beaucoup d’argent, ça c’est quelque chose qu’il faut savoir ! (rire).

    Quand j’avais l’agence de communication avec mes associés, on facturait 70 euros de l’heure. C’est à partir de là, que j’ai pensé à vendre des offres premium. Maintenant, de façon récurrente, je gagne 3000 euros/mois. En moins d’un an d’activité, je suis assez fière de moi car beaucoup d’entrepreneurs ne vivent pas de leur activité en 1 an. 

    Parfois le salariat te manque ?

     

    Non, car tu travailles pour un patron. Alors que moi, je préfère choisir et être libre. 

    Par exemple : le matin, je peux me promener au bord de la plage, répondre aux messages de mes clients quand je le souhaite. 

    Ce qui me dérange particulièrement dans le salariat, c’est de ne pas vivre pour soi. 

    Ce que j’adore avec l’entrepreneuriat, c’est que je fais quelque chose qui me fait vibrer. Je n’ai même plus l’impression de travailler. C’est ma passion.

    Un exemple simple, j’ai des appels de coaching 1 semaine sur 2. Ce qui me fait vibrer :

    • La liberté : une de mes grandes valeurs 
    • Décider 
    • Asseoir mon autorité 
    • Choisir 
    • Voir mes clients évoluer, voir grand et tout exploser !

    Peut-on dire aujourd’hui que tu as trouvé ta voie ? 

    Clairement oui ! (rire) J’ai surtout CHOISI ma voie. Je peux dire que j’ai découvert une passion pour le marketing et la communication, que je retrouve même dans les rapports aux autres.

    Si vous vous voulez plus d’information pour  changer de voie professionnelle et enfin quitter le métier que vous détestez,  je vous invite à lire l’article suivant : reconversion professionnnelle : que faire ? 5 points clés 

    Très honnêtement, arrives-tu à trouver un équilibre entre ta vie personnelle et les réseaux sociaux ?

    Clairement oui. Ma vie ce n’est pas les réseaux sociaux. Je décide de ce que je montre et je ne montre pas ma vie personnelle.

    En termes de temps passé sur les réseaux sociaux, je ne consomme pas une tonne de contenu. 

    Ma communication est stratégique, et je décide de ce que je veux poster tout simplement ! Je ne commente pas ou like pas forcément le contenu des autres. J’estime avoir d’autres choses à faire ! 

    Je ne suis pas créatrice de contenu ou influenceuse !

     

    Que conseilles-tu à quelqu’un qui voudrait faire ton métier et (ou) se reconvertir ?

    Je dirais qu’il y a deux choses : 

    1. Il faut passer à l’action ! Même si c’est imparfait.
    2. Et travailler son état d’esprit continuellement car c’est la répétition qui fait l’apprentissage.

    Le plus grand fléau c’est le passage à l’action ! Pourtant, c’est la clé. 

    Il ne faut vraiment pas se reposer sur sa motivation seule. Il faut éliminer toutes nos vieilles croyances, nos peurs. 

    Parfois il arrive à certains de choisir un domaine, juste pour l’argent et qui abandonnent rapidement car ils sont à la poursuite de la récompense immédiate.

    L’entrepreneuriat, comme vous l’avez vu dans mon parcours : c’est du test and learn ! Donc ça demande de continuer malgré les obstacles ! 

    L’échec c’est quoi ? C’est abandonner. Alors il n’y a pas d’échecs si tu n’abandonnes pas ! 

    Choisir sa vie professionnelle, c’est aussi choisir qui on a envie d’être.

    Ta famille a eu beaucoup d’influence sur tes choix. Comment te perçoit elle maintenant que tu réussis ? 

     

    Comment dire…Maintenant, ma mère me dit “tu m’amène quand en vacances?” (rire) 

    Je vois surtout la fierté de ma mère dans ses yeux. 

    Je lui ai vraiment fait peur. Elle avait des inquiétudes permanentes qui ont complètement disparu !

    Ma mère m’a dit récemment : ”Avant, j’avais des peurs, mais maintenant, je vois que tu es épanouie dans ton projet. Moi j’ai fait ma part, je t’ai fait faire des études. Si aujourd’hui, tu peux faire quelque chose que tu aimes et dans lequel tu te sens bien, c’est l’essentiel” 

    Mon objectif maintenant, c’est de l’emmener en voyage ! Je ressens une grande fierté et du bonheur.

     

    Que peut-on te souhaiter pour l’avenir ?

    On peut me souhaiter du succès sous toutes ses formes et beaucoup d’abondance ! (rire)

     

    Sur quels réseaux peut-on te contacter ? 

    Tiktok : emmanuelle.germain_

    Instagram : @emmanuelle.germain

     

    Vous savez à présent tout sur le parcours scolaire et professionnel d’Emmanuelle Germain. Elle nous a montré comment la famille peut être grande d’influence dans nos choix d’orientation. Pourtant, une maman veut toujours le bien de son enfant ! Toutefois, être aligné avec soi-même nécessite d’assumer la personne qu’on est au fond de nous-même. Chose qui ne fera jamais l’unanimité. J’espère que le témoignage d’Emmanuelle vous aura inspiré.

    Peut-être à l’heure actuelle, vous vous sentez perdu et ne savez pas quelle voie choisir ? Quelle formation faire ? Quelle activité peut faire sens pour vous ? Vous savez simplement que vous souhaitez trouver une voie qui correspond à votre personnalité et qui fait sens pour vous. Dans ce cas, contactez moi. Je propose des coaching de 3 mois pour vous permettre de quitter ce métier que vous détestez et surtout trouver votre voie. Je m’engage à vous répondre dans les 72h.

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